
Tu veux vendre plus, mais sans harceler tes prospects ? Tu te dis que ton site est “joli” mais qu’il ne convertit pas ? Alors il est peut-être temps de mettre en place un vrai tunnel de vente. Et pas un truc bancal en trois clics, hein. Un vrai tunnel. Structuré, calibré, pensé pour guider ton visiteur de A à Z.
Franchement, aujourd’hui, ne pas avoir de tunnel de vente quand on vend en ligne, c’est comme vouloir faire du vélo de course avec une roue crevée. Tu vas pédaler, oui. Mais tu n’avanceras pas.
Et la bonne nouvelle, c’est que tu n’as pas besoin d’être un expert tech ou un gourou du copywriting pour en créer un. Tu peux même te faire aider par des pros du sujet. Par exemple, sur https://123marketing-internet.com, tu trouveras des solutions concrètes, des conseils et même des prestataires si tu veux déléguer une partie du boulot.
Étape 1 : commence par comprendre TON client

Ça paraît évident, mais on zappe souvent cette étape. Ton tunnel de vente ne sert à rien si tu ne sais pas à qui tu t’adresses. C’est pas juste “cible : entrepreneurs” ou “public : femmes 30-45 ans”. Non. Tu dois creuser.
Qu’est-ce qu’il cherche ? Qu’est-ce qui l’énerve ? Pourquoi il ne dort pas bien la nuit ? Qu’est-ce qu’il a déjà testé et qui n’a pas marché ? Plus tu vas dans le détail, plus ton tunnel aura un impact.
Un conseil que j’ai reçu à Marseille, lors d’un atelier marketing : « Imagine que tu écris pour une seule personne dans ta tête. Tu connais sa voix, ses galères, ses habitudes. C’est pour elle que tu construis ton tunnel. »
Étape 2 : structure ton tunnel (sans partir dans tous les sens)

Tu n’as pas besoin de 14 étapes. Ce n’est pas un escape game. Le schéma de base, il tient sur une nappe :
- Une page d’atterrissage claire (landing page).
- Une proposition de valeur irrésistible (lead magnet ou offre directe).
- Une page de vente ou un formulaire bien pensé.
- Une séquence d’emails pour réchauffer ou relancer (selon le cas).
Et c’est tout. Tu peux ajouter des variantes, des upsells, du retargeting, OK. Mais seulement si le cœur fonctionne. Sinon tu compliques pour rien.
Étape 3 : choisis les bons outils (et reste simple)

Je te donne mon trio gagnant en 2025 (testé sur mes propres projets) :
- Systeme.io : tout-en-un, facile à prendre en main. Idéal pour débuter.
- ConvertKit : pour les séquences email propres et bien segmentées.
- Notion + Figma : pour bosser tes idées et maquettes avant de tout mettre en ligne.
Et si tu veux aller plus loin, tu peux connecter ça à des outils comme Make (ex-Integromat) ou Zapier pour automatiser les relances, les inscriptions, etc. Mais attention à ne pas te noyer dans la technique. C’est tentant, je sais.
Étape 4 : teste tout, tout le temps

Un tunnel figé, c’est un tunnel mort. Tu dois regarder les stats, comprendre où les gens décrochent, et ajuster.
Est-ce que ton titre accroche ? Est-ce que le bouton est visible ? Est-ce que le message est trop flou ? Parfois, changer juste un mot dans ton call-to-action peut faire la différence. Une fois, j’ai changé “Téléchargez gratuitement” par “Je veux le guide” → +18% de clics. Comme quoi…
Les pièges à éviter (vraiment)
- Vouloir tout vendre tout de suite : un tunnel, c’est une relation. Pas une vitrine Amazon.
- Négliger le mobile : 70% de ton trafic vient du téléphone. Teste ton tunnel sur un écran d’iPhone 12, pas que sur ton Mac 27″.
- Copier-coller des modèles sans les adapter : ce qui marche pour un coach sportif ne fonctionnera pas forcément pour une agence B2B. Adapte toujours.
Conclusion : un tunnel efficace, c’est du bon sens + de l’écoute

T’as pas besoin d’avoir le dernier outil à la mode ou de suivre la dernière masterclass à 997€. Ce qu’il te faut, c’est un tunnel pensé pour ton audience, avec un message clair, une structure fluide et un peu de test-and-learn.
Allez, maintenant c’est à toi. Tu te lances quand ?